Ce qui reste,
Un habit noir de deuil
Des pensées de fil gris
Nos mains longtemps serrées
ouvertes pour l’adieu
Tout ce vide aspiré
S’échappant en fumée
Il ne me reste rien
Que je n’aie toujours eu
Une main relâchant
L’oiseau du souvenir
Dans le ciel oublieux
Un homme anéanti
Par la force des choses
Livrant passage
Enfin,